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L’intérêt du patient n’exclut pas l’intérêt du bien public
Il faut bien l’admettre, la croissance des coûts du régime public d’assurance médicaments fait partie de ces sujets récurrents qui, à force d’être abordés, discutés, débattus, finissent par lasser un peu. Peut-être parce que personne ne se sent vraiment concerné, parce qu’il s’agit d’un enjeu ô combien complexe et qu’on ne peut pas faire grand-chose, à titre personnel, pour modifier la trajectoire. Faux, rétorque Robert Salois, le Commissaire à la santé et au bien-être. -
Une facture détaillée à la pharmacie?
Dans son rapport, le Commissaire à la santé et au bien-être consacre un chapitre à la réduction des iniquités entre les personnes couvertes par les volets public et privé du régime général d’assurance médicaments. Il estime qu’on pourrait mieux contrôler le coût des médicaments d’ordonnance des personnes couvertes par les régimes collectifs privés.