Surgery

«Les médecins peuvent sembler être des victimes improbables de la pandémie actuelle. Cependant, ceux qui ne traitent pas les patients atteints de la COVID-19 dans les hôpitaux ont subi une baisse importante du revenu...»

Un récent sondage de l’Association médicale canadienne a révélé que 74 pour cent des médecins ont mentionné la stabilisation du revenu comme l’une des mesures qui pourraient aider à soutenir leur bien-être mental.

Cette décision a été prise pour des raisons de sécurité, en raison du nombre d'unités d'hospitalisation en éclosion de COVID-19 dans les établissements, et parce qu'il y a un nombre important de patients dans les lits de courte durée, a indiqué le CIUSSS de l'Est-de-l'Île-de-Montréal.

La ministre de la Santé de l'Ontario affirme que selon un réseau hospitalier universitaire, 35 personnes pourraient être mortes pendant la pandémie parce que leur chirurgie cardiaque avait été reportée.

Ils sont jeunes et ils ont des idées plein la tête pour construire le système de santé de demain. Voici la prochaine génération de médecins, de pharmaciens et d'infirmières. Nous les avons questionnés sur l'argent, la carrière, leurs collègues plus âgés et ce qui les rend heureux.

Malgré le déploiement de ces médecins, le MSSS se veut rassurant en précisant que les activités de cardiologie et de cancérologie se poursuivront.

Les Québécois aux prises avec des problèmes cardiovasculaires doivent être traités et opérés, sans plus attendre, demandent les cardiologues.

Le manque de médicaments et d’équipements de protection individuelle dans les hôpitaux met en péril la reprise des chirurgies oncologiques semi-urgentes, alerte le président de l'Association des médecins hématologues et oncologues du Québec, le Dr Martin A. Champagne.