«L’Ordre des médecins français a parfaitement joué le jeu de la transparence et de la réciprocité “permis sur permis”, souligne M. François Lubrina. Ce n’est pas le cas du Collège des médecins du Québec qui, une fois encore, s’ingénie à compliquer l’accès aux diplômés français.»
Tout en continuant d'intervenir au quotidien auprès de leurs patients, les diététistes veulent réfléchir aux nouvelles réalités sociodémographiques, économiques et environnementales.
L’Ontario a adopté le projet de loi 179. Cette initiative législative considérable élargit l’étendue de la pratique de nombreux professionnels de la santé et donne au gouvernement le pouvoir de prendre en charge l'autorité de réglementation des médecins de la province.
Les médecins frayant avec les approches complémentaires marchent sur la pointe des pieds. Selon les articles 48,49 et 50 du Code de déontologie du Collège des médecins, un médecin ne doit prescrire un traitement ou une technique que si son efficacité est reconnue.
D'ici 10 ans, les maladies chroniques représenteront 73 % de tous les décès, selon l'OMS. Dans ce contexte, les infirmières auront deux rôles majeurs à jouer.
Selon une étude publiée en ligne dans le Journal of the national cancer institute, aucun changement significatif n’est relevé dans l’incidence des tumeurs cérébrales chez les adultes ayant utilisé leur cellulaire pendant 5 à 10 ans, de manière croissante.