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Le traitement thermique humide des masques N95 éliminerait non seulement les bactéries, mais aussi le SARS-CoV-2, ce qui permettrait de les réutiliser et de possiblement éviter une pénurie, a démontré une nouvelle étude parue dans le Journal de l’Association médicale canadienne.

Le ministre de la Santé, Christian Dubé, lance à la population québécoise le défi collectif de réduire au minimum le nombre de cas d'infection à la COVID-19, le plus rapidement possible, avant l'arrivée d'une éventuelle deuxième vague.

Plusieurs universités de médecine canadiennes ont mis en place des programmes afin d’accueillir davantage d'étudiants noirs pour favoriser la diversité.

Santé Canada hausse de 12 à 18 ans l’âge minimum pour lequel l’utilisation de ces produits est recommandée.

Pour de plus en plus de patients aux prises avec une forme grave de la COVID-19 aux États-Unis, la greffe de poumons s'avère la dernière option pour survivre à la maladie. Mayra Ramirez, de la région de Chicago, a été la première patiente COVID sauvée grâce à cette intervention.

Des chercheurs de l’Université de Montréal qui analysent les mutations dans le SARS-CoV-2 se préparent à recevoir toutes les données disponibles sur les personnes ayant reçu un résultat positif à la COVID-19. L’ensemble de ces données pourraient leur permettre de trouver un traitement efficace.

Une simple analyse de sang permettrait de dépister avec précision la maladie d’Alzheimer 20 ans avant l’apparition de cette affection neurodégénérative, selon les résultats d’une étude dévoilée lors de la Conférence internationale de l’Association de l’Alzheimer qui a lieu cette semaine.

Un cabinet d’avocat a déposé une demande pour obtenir l’autorisation d’exercer une action collective en Ontario et au Québec concernant Elmiron pour des allégations de problèmes de vision liés à la prise du médicament.