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Avant même la pandémie, nous étions la civilisation qui ne dormait plus. La pandémie n’a fait qu’accentuer un phénomène dont l’ampleur en faisait déjà un problème de santé publique. Horaires de travail éclatés, culte de la performance, insouciance à l’égard des symptômes provoqués par un manque de sommeil, il est temps que les professionnels de la santé puissent rêver à une population mieux reposée.

Des chercheurs proposent, au moyen d’une étude parue récemment, une nouvelle thérapie pour le traitement du diabète de type 2. Si elle se révèle efficace, cette thérapie pourrait permettre à certaines personnes d’arrêter leur traitement par insuline.

Un nombre indéterminé de médecins de famille ont entrepris leur pratique ces dernières années sans avoir demandé ou obtenu de PREM et se sont établis dans le milieu de leur choix malgré les fortes pénalités financières prévues.

Bien que l'urgence soit moins grande que lors de la première vague, les enjeux sont tout aussi importants et la situation requiert un redressement marqué, écrivent des gériatres dans une lettre ouverte. Ils proposent 12 mesures, en plus de celles déjà en place, pour limiter les dégâts sur les aînés déjà fortement fragilisés.

L’Association canadienne de médecine d’urgence (ACMU) considère la gestion actuelle de la deuxième vague de COVID-19 comme un échec collectif des gouvernements provinciaux et demande de mettre en place une stratégie nationale pour faire face à la situation.

Bien qu’il soit tentant – en contexte de COVID-19 – de diagnostiquer des éruptions cutanées à distance, je tenais à voir la patiente en personne. Cette jeune fille d’origine indienne à la peau claire était préoccupée par une éruption cutanée qui était apparue sur ses pieds environ deux ou trois semaines auparavant et qui se propageait légèrement.

Plus de patients souffrant d'une forme très courante d'arythmie se verront maintenant offrir d'emblée une option chirurgicale pour régler leur problème, grâce à des recherches menées à l'Institut de cardiologie de Montréal.

Même si le nouveau service d’Amazon ne risque pas de faire prochainement son entrée sur le marché québécois, les pharmaciens s’interrogent déjà sur les moyens de contrer le géant américain du commerce en ligne.