La réorganisation du système passe par une « meilleure gouverne médicale ». Le directeur général de la Direction des services de santé et de la médecine universitaire affirme que si les médecins ne s’en chargent pas, d’autres le feront.
Le déploiement du Dossier de santé du Québec (DSQ) est loin d’aller aussi rondement que le ministre de la Santé, Yves Bolduc, le laissait entendre le 30 avril dernier.
«On demande à tout le monde de changer, alors, nous, médecins, nous devons aussi nous regarder aller. Nous sommes en face moins d’un problème clinique que d’un problème d’organisation du travail.»