Alors qu’on assiste à une informatisation lente ou, à tout le moins, inégale du réseau de la santé, certains médecins ont déjà intégré les nouveaux modes de communication que sont les réseaux sociaux.
Plusieurs intervenants ont reproché au projet de loi d’attribuer de nouveaux pouvoirs d’intervention, de surveillance et de contrôle au ministre de la Santé et aux agences.