À la tête de la Santé publique pendant la pandémie de COVID-19, le Dr Horacio Arruda a eu à prendre et à annoncer des décisions difficiles. Il confie ce que cette crise sans précédent lui a enseigné.
Trouver le juste équilibre entre les intérêts commerciaux des compagnies pharmaceutiques et ceux des patients et des cliniciens est une tâche délicate, mais certains croient que c’est possible d’y parvenir.
Au sommaire: Jusqu’où peut aller le marketing pharmaceutique? | Syndrome de l’imposteur | Rôle des professionnels de la physiothérapie | Implants cérébraux | Traitement de la dépression médico-réfractaire
Les professionnels de la physiothérapie sont souvent reconnus pour leur rôle dans le suivi des blessures musculosquelettiques. Leur expertise est toutefois beaucoup plus variée.
Avec l'essor des réseaux sociaux, le marketing pharmaceutique a beaucoup évolué ces dernières années. Jusqu'où peut-il aller? Est-elle possible de faire cohabiter les intérêts commerciaux et sociétaux?
Le syndrome de l’imposteur peut toucher n’importe qui, et les professionnels de la santé y sont particulièrement vulnérables. Bonne nouvelle: il est possible de s’en défaire.
La Société canadienne de néphrologie a formé un comité afin de trouver des moyens pour réduire les déchets, tels qu'un calculateur de l'empreinte carbonique pour recueillir des données sur l'impact environnemental des traitements rénaux.
Plus de 900 cas de coqueluche ont été déclarés à travers le Québec depuis le début de 2024, dont 200 cas au cours des dernières semaines. Les régions de l'Estrie et de Chaudière-Appalaches sont de loin les plus touchées.