«Tous, nous aspirons à vivre plus longtemps dans le meilleur état de santé possible. Mais si la santé n’a pas de prix, elle a un coût, qui secoue la gestion des finances publiques».
Le Vérificateur général est notamment préoccupé par un certain laxisme dans les départements de pharmacie en ce qui a trait à la prévention des conflits d’intérêts.