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Québec a dû se résoudre à offrir cette mesure devant le manque d'employés dans le réseau de la santé et le fait que ceux qui restent se disent surchargés de travail et épuisés.

Le Dr Brian Day contestait la validité du «Medicare Protection Act», estimant qu'empêcher des patients de payer pour des soins au privé afin d'éviter les délais du système public allait à l'encontre de leurs droits.

Médecin de famille à Ottawa, le Dr Jabir Jassam plaide en faveur d’une plus grande courtoisie professionnelle dans certaines situations.

Pour la première fois, une pharmaceutique a demandé l'autorisation de vendre une pilule contraceptive en vente libre aux États-Unis, en tentant de convaincre la FDA que les femmes peuvent dépister elles-mêmes leurs risques et l'utiliser efficacement.

«Si nous ne plafonnons pas nos dépenses en matière de santé, la spirale des coûts remettra en cause la viabilité de notre système. Les médecins doivent réaliser qu’ils sont les gardiens d'une ressource limitée et précieuse.»

Alors que les provinces reviendront à la charge pour réclamer une hausse récurrente et sans condition des transferts fédéraux en santé, pour les faire passer de 22% à 35% des coûts, le fédéral considère qu'il fait plus que sa part et veut discuter d'investissements ciblés pour l'avenir.

Des responsables fédéraux cherchent à savoir si les travailleurs de la santé canadiens pourraient faire face à des risques juridiques pour avoir fourni des services d'avortement aux Américaines à partir d'États où la procédure a été interdite.

Patrick Bélanger affirme que son histoire doit servir de mise en garde pour les Québécois, puisque des médecins d'autres provinces pourraient refuser de traiter des Québécois en plaidant qu'ils ne seraient pas indemnisés.