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L’erreur est humaine, soit. Mais lorsqu’elle est le fait d’un médecin ou d’un pharmacien, elle peut être lourde de conséquences.

C'est le résultat d'un sondage publié par le SPGQ, affirmant que les employés sont «réticents» à se porter volontaires pour aller y travailler parce qu'ils savent qu'ils s'appauvriront. Le personnel gagne actuellement de 7% à 14% de plus que celui du réseau de la santé.

La majorité des Canadiens savent que le traitement du cancer entraîne des dépenses personnelles, cependant 51% ne savent pas qu'il y aura des frais à débourser de leur poche et ils ne sont pas conscients de toute l'étendue.

La prévention et la lutte contre les inégalités étaient au cœur du deuxième Sommet sur la santé durable, organisé cette semaine à Montréal et à Québec par l’Association pour la santé publique du Québec.

Selon les intervenants du CMQ et de la FMSQ, le consentement présumé ne serait pas garant d'une bonification du don d'organes. Ils estiment qu'il faut une multitude de solutions, comme sensibiliser et informer le public sur le don d'organes.

Les cliniciens canadiens paient, en moyenne, environ 2100$ chaque année pour avoir le droit de pratiquer la médecine.

Accusé de mauvaise tenue des dossiers, de manque d’intégrité et de publicité illégale, un pharmacien propriétaire de Montréal s’est vu infliger une amende de 30 000$.

La plupart des Canadiens ne pensent pas que la qualité des soins de santé ira mieux, suggère un nouveau sondage. Un Canadien sur sept craint de ne pas obtenir des soins médicaux de bonne qualité si lui-même ou un membre de sa famille en a besoin.