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Le 19 mai dernier, Danielle McCann, alors ministre de la Santé et des Services sociaux, a annoncé la reprise des chirurgies électives après deux mois de pause en raison de la COVID-19, et fait part de son souhait de voir les cliniques privées prendre en charge des patients. Or, la lourdeur administrative a compliqué les choses.

Propulsée par la pandémie, la télémédecine va améliorer l’accessibilité des soins, estiment des experts réunis virtuellement par l’Association canadienne de protection médicale. Toutefois, les soins virtuels comportent des enjeux liés à la confidentialité et la sécurité des données dont les médecins doivent se préoccuper.

Là où l’on permet la cohabitation des médicaments biologiques d’origine et des biosimilaires, sans en avantager un au détriment de l’autre, des réductions de prix s’observent pour l’ensemble des produits, note l'économiste Yanick Labrie.

Il est temps de travailler avec les provinces pour s’assurer que des congés de maladie payés universels, permanents et facilement accessibles soient disponibles pour les travailleurs partout au Canada, mais aussi pour les médecins.

Les autorités canadiennes de réglementation tardent à financer le seul nouveau médicament approuvé par Santé Canada en 2017 qui permet de ralentir la progression du cancer du pancréas, déplore l'organisme Cancer du pancréas Canada.

Longtemps perçu comme un scénario de science-fiction dans un milieu où le télécopieur fait parfois figure de technologie avancée, la télémédecine a fait une entrée remarquée lors de la pandémie de la COVID-19.