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De nouvelles données provenant d’une enquête de l’Université de Sherbrooke montrent que la pandémie de COVID-19 a entraîné des impacts psychosociaux importants chez les Québécois, particulièrement chez le personnel de la santé et les jeunes.

Cette décision a été prise «afin d'optimiser le dépistage auprès des personnes chez qui le risque d'infection est plus élevé», précise le ministère de la Santé par communiqué.

Alors que les mesures temporaires appliquées à la rémunération de ses membres viennent à échéance le 30 septembre, l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec n’a toujours aucune information de la part du gouvernement quant à la reconduite de celles-ci.

Une étude portant sur de jeunes adultes et adolescents manitobains, dont les mères ont souffert de diabète pendant leur grossesse, a révélé que les enfants avaient un risque de 50 à 200 % plus élevé de développer une maladie cardiaque avant l'âge de 35 ans que ceux qui n'ont pas été exposés au diabète in utero.

Les cas de COVID-19 augmentent lentement mais sûrement dans les résidences privées pour aînés du Québec. Une source d'inquiétude pour les autorités et les experts, qui veulent éviter de revivre le désastre qui a eu lieu lors de la première vague de la pandémie.

Une étude réalisée aux États-Unis cet été montre qu’un nombre croissant de cas ont été répertoriés chez les aînés à la suite d’une vague d’infection chez les jeunes adultes.

Québec a rendu publics les rapports d'enquête sur l'hécatombe vécue à la Résidence Herron, à Dorval, ainsi qu'au CHSLD Sainte-Dorothée, à Laval, au printemps dernier. Ils font état d'un manque de leadership des directions d'établissements, du manque de ressources humaines et du manque de financement.

Les Québécois doivent absolument éviter les contacts sociaux dans les semaines qui viennent, pour espérer freiner la propagation du virus de la COVID-19, a imploré le ministre de la Santé, Christian Dubé, jeudi, en conférence de presse.