Healthcare Management

Afin de limiter les risques de transmission communautaire de la COVID-19, les résidents ou les stagiaires en santé qui se déplacent d’une région à une autre devront respecter une période d'isolement, notamment s'ils se déplacent d’une région à endémicité élevée à une région à endémicité faible, ou s'ils proviennent d'un milieu où une éclosion a eu lieu.

L’Institut national d’excellence en santé et en services sociaux recommande au ministre de la Santé et des Services sociaux Christian Dubé d’inscrire Veklury (remdésivir) sur la Liste des médicaments - Établissements pour le traitement de la COVID-19 sous certaines conditions.

Le nombre de décès officiels liés à la COVID-19 chez les travailleurs de la santé canadiens ne fait pas consensus. Il ne s’agit pas seulement d’une affaire de calcul, mais aussi de ce qu’on entend par « travailleurs de la santé » et de l’importance que leur accordent les agences gouvernementales chargées de les protéger.

La résistance de l’infection à Neisseria gonorrhoeae aux antibiotiques augmente au Québec. La Direction de la prévention des infections transmissibles sexuellement et par le sang du MSSS demande aux cliniciens de faire preuve de vigilance et de suivre les plus récentes recommandations.

Une soixantaine de pharmacies en Ontario commenceront dès vendredi à procéder au dépistage de la COVID-19 auprès des personnes asymptomatiques. Le premier ministre soutient que cette mesure réduira la pression sur les cliniques d'évaluation.

Dans une recherche rendue publique mercredi, l'INESSS se fait rassurant, observant que le risque d'être hospitalisé après avoir contracté le virus est trois fois moins élevé en septembre qu'il pouvait l'être au printemps, au plus fort de la vague.

L'Agence de la santé publique du Canada hésite toujours à déclarer le début de la "deuxième vague" de la pandémie. Pourtant, ses administrateurs préviennent que le nombre de cas pourrait augmenter de façon exponentielle dans les prochains mois.

Les séquelles psychologiques résultant d'une agression sexuelle sur les fillettes et les jeunes filles jouent un rôle dans l'apparition de problèmes de santé génitale et urinaire plus tard dans leur vie, souligne dans sa plus récente étude une chercheuse de l'Université de Montréal.