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Québec a dû se résoudre à offrir cette mesure devant le manque d'employés dans le réseau de la santé et le fait que ceux qui restent se disent surchargés de travail et épuisés.

Alors que le comité d'urgence de l'OMS s'est réuni jeudi, certains scientifiques ont affirmé que les différences frappantes entre les épidémies en Afrique et dans les pays développés compliqueront toute réponse coordonnée.

Une médecin qui a fui l’invasion russe de l’Ukraine et s'est établie à Terre-Neuve-et-Labrador le mois dernier déplore le manque d’aide du gouvernement provincial.

Le Dr Brian Day contestait la validité du «Medicare Protection Act», estimant qu'empêcher des patients de payer pour des soins au privé afin d'éviter les délais du système public allait à l'encontre de leurs droits.

«D'un côté, les femmes sont encouragées à avoir une carrière, à être autosuffisantes et à avoir une relation stable, mais de l'autre côté, on les prévient que leur horloge biologique avance», explique la coauteure.

Le Canada doit tenir sa promesse de longue date de mettre en place une ligne téléphonique d'urgence centralisée en santé mentale qui contourne la police et relie les personnes dans le besoin à des professionnels qui peuvent les aider.

Médecin de famille à Ottawa, le Dr Jabir Jassam plaide en faveur d’une plus grande courtoisie professionnelle dans certaines situations.

«On constate heureusement que les personnes hospitalisées aux soins intensifs sont en moindre proportion dans cette vague que dans les vagues qui ont précédé, les vagues Omicron», ce qui démontre, selon une médecin, que la vaccination fonctionne.