L’Université de Montréal vient de créer une chaire de recherche sur le virage «patients partenaires de soins» avec un Bureau de l’expertise patient. L’initiative s’inscrit dans une réflexion internationale menée sur les dérives d’une médecine trop exclusivement centrée sur la maladie. Entrevue avec le Dr Michel Botbol1, membre du Bureau du Réseau international pour une médecine centrée sur la personne.
Hier encore, il était «malade» ou «patient», «bénéficiaire» ou «client», «participant» au régime public d’assurance maladie. Le voilà promu «partenaire» et «expert».
Davantage d'autonomie aux dirigeants des établissements de santé et le pouvoir pour eux de conclure des ententes individuelles avec les médecins. C'est ce que promet la Coalition pour l'avenir du Québec.
Abordant les problématiques liées à l’image corporelle et au poids chez les jeunes, cette journée de conférences avait pour but de déclencher une réflexion chez les professionnels de la santé.
Recentrer la médecine sur le patient, c’est ne plus se laisser aveugler par les seules données probantes. La profession connaît une réflexion internationale en ce sens, y compris au Québec.
Les comprimés contiennent du naproxène et de l'esoméprazole pour traiter l’arthrose, la polyarthrite rhumatoïde et la spondylarthrite ankylosante et diminuer le risque d’ulcères gastriques.