Selon de récentes observations, 40% des GMF n’atteindraient pas la cible d’inscription à partir de laquelle leur financement est établi, a dénoncé le Dr Réjean Hébert, mercredi 13 février, en commission parlementaire.
Si on note une amélioration générale de la situation, il subsiste encore des disparités dans l’offre de services, notamment du fait du manque de médecins omnipraticiens, de psychiatres et de pédopsychiatres.
«La situation économique et le pouvoir politique font pression en faveur de la maîtrise des coûts. En même temps, ce même pouvoir politique et les milieux corporatistes peuvent faire pression pour le maintien du statu quo...» constate Léonard Aucoin, président de la firme InfoVeille Santé.