Le Dr Eric J. Topol, cardiologue à San Diego, constate que les applications mobiles modifieront inévitablement la relation patient-médecin. Voici pourquoi.
Le président du Collège des médecins souligne que le système de santé n’appartient ni au gouvernement ni au ministre, mais aux Québécois. Ces derniers sont donc en droit de savoir quels sont les objectifs finaux de ces réformes.
Dans le débat qui a cours actuellement, Jean-Pierre Ménard déplore que les patients ne semblent pas être la priorité de la partie gouvernementale et des médecins.
Plusieurs groupes de médecine de famille (GMF) sont sur la corde raide et un autre a pris la décision de se dissoudre par suite de la volonté du ministère de la Santé de les forcer à respecter les termes de leur contrat.
Seulement 23 % des Québécois considèrent que le système fonctionne bien, selon les données issues de l’enquête internationale sur les politiques de santé du Commonwealth Fund.
Le projet de loi 20 laisse supposer que le problème d’accès est lié à la productivité des médecins. Pour le Dr Dahine, la productivité est peut-être une partie du problème, mais elle fait partie d’un tout beaucoup plus complexe.