General Practice/Family Medicine

L’Agence de la santé publique du Canada a mis au point un questionnaire pour déterminer la vulnérabilité d’une personne au prédiabète ou au diabète de type 2. Le Questionnaire canadien sur le risque de diabète porte l’appellation de CANRISK.

Radio-Canada révélait récemment que malgré l'entente France-Québec signée en 2008, «194 des 348 médecins français qui ont demandé un permis dans la province ne l'ont pas eu». Des chiffres que le Collège des médecins du Québec réfute.

Il est capital de préserver la fonction rénale résiduelle chez un patient diabétique qui souffre d’insuffisance rénale (IR). Le Dr Paul René de Cotret, néphrologue, livre ses recommandations, notamment la maîtrise de l'hyperkaliémie et de l'hypertension, et l'ajustement des hypoglycémiants.

La présence accrue d’infirmières dans les groupes de médecine familiale (GMF) réjouit l'OIIQ. Toutefois, il se dit préoccupé par la reconnaissance des savoirs infirmiers et demande au ministre de veiller à ce que les balises soient respectées afin d’assurer leur pleine autonomie professionnelle.

Le Dr Claude Garceau, médecin interniste et spécialiste en diabète, a animé une conférence sur le sujet lors d'une journée de formation aux professionnels de la santé. Il livre différents conseils à l’attention des diabétiques qui voyagent.

Le Collège des médecins du Québec dit ne pas être surpris des réactions des médecins retraités qui s’opposent au retrait de leur privilège de prescription. Mais selon lui, «revenir en arrière, ce serait prendre une décision illégale».

Le surplus de poids, l'obésité, le vieillissement de la population et la croissance démographique ont alimenté une explosion du nombre de cas de diabète à travers le monde puis 25 ans.

«La décision que votre Conseil d’administration a prise en mai dernier est une gifle en plein visage pour tous les médecins retraités qui ont consacré une partie de leur vie à pratiquer un des plus beaux métiers du monde. Ce privilège de prescription qu’on leur accorde ne sert pas, pour la grande majorité, à continuer de pratiquer la médecine par la porte d’en arrière, mais à dépanner parents et amis à l’occasion...»