General Practice/Family Medicine

Selon des calculs rapportés par la porte-parole du Parti québécois en matière de santé, Diane Lamarre, il resterait 834 000 personnes à inscrire pour les médecins de famille pour atteindre la cible ministérielle. «C’est faisable, il n’y aucun doute pour moi, a indiqué Gaétan Barrette. Mais c’est tributaire de l’effort que va mettre la FMOQ.»

Les cotons-tiges envoient 34 enfants à l'urgence chaque jour, selon une étude américaine. Les chercheurs du réseau Nationwide Children's Hospital ont ainsi dénombré 263 000 incidents du genre chez des jeunes de 18 ans et moins entre 1990 et 2010, soit une moyenne de 12 500 par année ou 34 par jour.

L’ancien ministre de la Santé et des Services sociaux du Québec, Réjean Hébert a récemment été nommé doyen de l’École de santé publique de l’Université de Montréal (ESPUM), poste qu’il occupera à compter du 1er juin prochain.

De nouvelles directives nationales publiées dans le Journal de l’Association médicale canadienne recommandent aux médecins d’éviter de prescrire systématiquement des opioïdes aux patients souffrant de douleurs chroniques non liées au cancer. On les encourage plutôt à utiliser d’autres traitements afin d’éviter les risques associés à ces puissants narcotiques.

«L’expérience des dernières années a démontré que l'utilisation [des ordonnances collectives] n’était pas toujours optimale, et a révélé certaines difficultés dans leur élaboration et leur application», a constaté le Collège des médecins du Québec. Il publie donc un guide d’exercice pour ses membres afin de clarifier certains aspects.

Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) pourraient accroître le risque de crise cardiaque dès la première semaine d’utilisation. C’est ce que tend à démontrer une étude parue mardi dans le British Medical Journal.

Père des lois 10 et 20, qu’il a imposées sous la menace aux médecins spécialistes et aux médecins de famille, le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, change de ton et de façon de faire dans le dossier des supercliniques. «On n’est pas dans un mode d’imposition», a-t-il déclaré lors de l’étude des crédits de son ministère, le 2 mai dernier.