Emergency Medicine

Une étude canadienne suggère que cet antiviral pourrait avoir un effet sur les résultats des patients atteints de la COVID, notamment en réduisant le besoin de ventilation mécanique d'environ 50%.

Le manque de données concernant le pronostic des victimes de traumatismes graves mène à des différences considérables dans les ressources que déploient les centres de traumatologie du Québec avant le décès de ces patients.

Alors que la crise sanitaire entraîne des enjeux exceptionnels pour les professionnels de la santé, les codes de déontologie doivent-ils être adaptés à cette réalité? Oui, conviennent les ordres professionnels.

Pour l'instant, les mesures concernent le désengorgement des hôpitaux, notamment en ce qui a trait aux «13% de nos lits occupés par des patients en niveau de soins alternatifs», soit ceux qui attendent d'être transférés vers d'autres établissements, comme des CHSLD.

«On aurait déjà dépassé le pic des cas» de la vague Omicron, a annoncé mardi le directeur national de la santé publique du Québec par intérim, le Dr Luc Boileau, en conférence de presse.

L’ajout d’une nouvelle option dans l'arsenal anti-COVID suscite de l'espoir. Plusieurs questions devront toutefois être éclaircies concernant sa prescription et sa distribution.

L'actuelle vague de COVID-19, alimentée par le variant Omicron, semble reculer au Québec, même si la situation dans les hôpitaux ne s'est pas encore améliorée.

La conseillère médicale principale de Santé Canada a indiqué jeudi qu'une décision était attendue dans une semaine ou 10 jours sur le traitement antiviral de Pfizer pour soigner à la maison les symptômes de la COVID-19.