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Déterminer l’étendue de la médecine privée au Canada aujourd’hui est aussi difficile que parvenir à s'entendre sur une définition précise. Cette semaine, alors que la Cour suprême de Colombie-Britannique doit entendre la cause de Brian Day, dont le dénouement sera déterminant pour la place du privé dans les soins médicaux au Canada, c'est une bonne occasion de revoir le paysage des soins médicaux privés et financés publiquement au Canada.

Le Collège des médecins a décidé le 1er septembre d’octroyer un quatrième permis temporaire d’un an au Dr Amer Omar, un ophtalmologiste spécialiste des maladies génétiques de la rétine.

Le premier ministre Philippe Couillard s’est déplacé à l’hôpital de Gatineau mardi pour annoncer l'implantation d'une faculté de médecine satellite en Outaouais. Elle sera affiliée à l'Université McGill et fonctionnera en partenariat avec le CISSS de l'Outaouais.

Les GMF nouvellement formés et les GMF qui réclament un rehaussement de leurs ressources professionnelles supplémentaires lors de leur révision annuelle devront s’armer de patience. Professionsanté.ca a appris que les CISSS et les CIUSSS ont obtenu un délai très important pour leur fournir ces effectifs, car ils étaient actuellement incapables de répondre à la demande.

Pour avoir échoué à une partie de l’examen obligatoire de l’Office québécois de la langue française (OQLF), le Dr Amer Omar, 37 ans, seul spécialiste des maladies génétiques de la rétine au Québec, ne peut y exercer la médecine.

Santé Canada compte restreindre six produits chimiques utilisés dans la production du fentanyl, afin de lutter contre la "crise nationale des opioïdes".

Une mauvaise réputation entoure les médicaments d’aide à la cessation tabagique, la varénicline et le buproprion, vendus respectivement sous les marques de commerce Champix et Zyban. Plusieurs études s’étaient déjà penchées sur les effets neuropsychiatriques de ces deux médicaments. Mais certaines ne prenaient en compte que certains de ces effets tandis que d’autres éliminaient d’office les patients les plus malades.

Les nombreux programmes visant à aider des ambulanciers, pompiers et autres premiers répondants à vivre avec le stress qu'implique leur profession manquent de cohérence, de sorte qu'il devient difficile d'en juger l'efficacité, croient des chercheurs de la Saskatchewan.