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La Régie de l’assurance maladie du Québec a annoncé la bonification du relevé Historique des services assurés. Depuis le 7 décembre, celui-ci contient désormais une description générale du service rendu.

Le ministre de la Santé et des Services sociaux se serait placé en situation de conflit d’intérêt en tentant d’abolir le principal champ d’activité de trois de ses anciens collègues de l'Hôpital Maisonneuve-Rosemont. C'est ce que dévoile une enquête de La Presse + parue jeudi. Réactions du ROME, de la FMSQ et de la FMOQ.

Le projet d’un programme d’accessibilité à la psychothérapie par le régime public obtient un large appui de la part des professionnels de la santé mentale et des relations humaines.

La demande de sauvegarde déposée conjointement par le Collège des médecins du Québec (CMQ), l’Ordre des chiropraticiens du Québec (OCQ) et l’Ordre professionnel de la physiothérapie du Québec (OPPQ) a été accueillie, le 30 novembre dernier, par la Cour supérieure du Québec.

Près de 34 000 cas d’infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) ont été déclarés au Québec l’an dernier. Cela représente 75 % de l’ensemble des infections recensées dans le fichier des maladies à déclaration obligatoire. L’Institut national de santé publique du Québec a dressé un portrait des ITSS dans la province en 2016 et fait des projections pour 2017. Voici les principaux constats.

Le dépistage n'a pas fait ses preuves pour prévenir l'apparition du cancer du sein ou des ovaires chez les femmes à risque. Toutefois, plusieurs options chirurgicales s'offrent à elles, notamment l'ablation des trompes de Fallope. Explications de la Dre Marie Plante, gynécologue oncologue et chef du service de gynéco-oncologie au CHU de Québec.

Lors de son congrès, l’AQPP a présenté les grandes lignes des nouveaux modes de rémunération qu’elle propose et qui pourraient faire l’objet de ses prochaines négociations avec le gouvernement en 2018, notamment pour les activités cliniques réalisées par les pharmaciens communautaires.

Québec a annoncé dimanche un investissement récurrent de 35 millions $ pour un tout premier programme public de psychothérapie. Ainsi, à la suite d'un diagnostic, pour des troubles anxieux ou de dépression entre autres, les services de psychologue seront couverts par le régime public.