- 08/07/2016
«Le débat est lancé au Canada sur la légalisation du "pot", du cannabis, du THC, de la mari, appelez-le comme vous le voulez. Il semble que nous soyons à l’époque des rois. Chacun son roi. Il y a peu de temps, la pharmacie a eu le sien, proclamé par les journalistes du <em>Journal de Montréal</em>. Il y a un autre roi, le roi du cannabis, dont on a annoncé l’arrivée à Montréal et à Québec...»
- 10/06/2016
Qui au sein de la profession n’a pas entendu parler du roi déchu de la pharmacie? Déchu après une spectaculaire fraude. Une? Non, plusieurs… Cette histoire a perturbé bien des pharmaciens. Comme profession, nous n’avions certainement pas besoin d’une tuile de ce genre...»
- 20/04/2016
«Nos frustrations sont bien légitimes, mais nous ne sommes pas les seuls à vivre des irritants importants dans le réseau. Si la phase de démolition actuelle le met en péril, du moins partiellement, il est grand temps de développer des modèles positifs pour la reconstruction qui sera inévitable demain. Il est temps d'arrêter de ventiler nos frustrations et de commencer à diffuser nos bonnes idées.»
- 05/04/2016
«Quelle serait la conséquence si on ne répondait pas à tout, tout de suite? Un délai! Et dans bien des professions, particulièrement dans le domaine de la santé, un délai se traduit en une liste d'attente. Et entre les deux, il existe une salle d'attente! Que ce soit pour des patients, ou une pile de feuilles d'ordonnance, cette file d'attente fait partie de la solution, d'une certaine façon.»
- 09/02/2016
«Une recherche sur 20 sur Google concerne un problème de santé. Les patients se présentent à la pharmacie (ou chez le médecin) avec une idée bien précise de ce qu’ils ont et de ce qu’ils veulent. Que doit faire le pharmacien qui se veut un conseiller? Rien faire? Intervenir au risque de les affronter? Bonne question!»
- 05/01/2016
«Si les pharmaciens avaient écrit les différents sketches du Bye bye cette année, l'actualité leur aurait permis de réaliser un show de plus d'une heure. Pas certain qu’ils auraient tous été drôles, cependant.»
- 24/09/2015
«La rentrée 2015 est manifestement différente de toutes les autres. La loi 41 est entrée en vigueur, les paramètres de la rémunération des pharmaciens communautaires, à défaut d'être totalement satisfaisants, ont le mérite d'être connus. Ceux des pharmaciens d'établissement sont aussi connus, mais la réforme du réseau de la santé ne fait que commencer. À chacun son combat.»
- 18/06/2015
La Loi 41 me semble satisfaire tous les critères de reconnaissance de la formation et des compétences des pharmaciens. Elle découle d’une collaboration entres les ordres professionnels qui doit faire école et nous inspirer. Elle permet aux pharmaciens de contribuer significativement à l’accessibilité aux soins sans sombrer dans une bureaucratie aussi lourde qu’inutile.
- 22/05/2015
Le pire des échecs de la Loi 41 serait que nous mêmes, les pharmaciens, refusions d'utiliser les bénéfices et les privilèges de la Loi et ainsi priver les Québécois de nos services. Ce serait donner raison à des politiques qui n'ont pas de sens, et ce serait donner des munitions à ceux qui prennent un malin plaisir à casser du sucre sur notre dos.
- 01/04/2015
«Conclure une entente avant l’échéance et avant les grandes centrales syndicales relève d’un film d’Hollywood. Les pharmaciens d'établissements ont-ils gagné? Non, ils n’ont juste rien perdu. Surtout, ils n’ont pas perdu espoir d’avoir de la relève.»
- 12/03/2015
«Alors que le message que le gouvernement tente de passer aux médecins est d’augmenter leur prestation de soins, c'est le discours inverse qu'il tient maintenant aux pharmaciens. Si quelqu'un comprend cela, expliquez-moi, ça presse!»
- 19/12/2014
«Si nous voulons justifier nos salaires et nos revenus, nous avons le défi de justifier la pertinence et la valeur ajoutée de nos services. De façon intéressante, nous devons faire le constat que la valeur des services des pharmaciens – et des médecins de famille – n'a convaincu ni le ministère ni le ministre. Un message que nous devons entendre, qu’il fasse notre affaire ou non.»
