Gynécologie / obstétrique

De nombreuses femmes ont signalé des perturbations de leur cycle menstruel, certaines ayant remarqué des changements après avoir attrapé le virus, d’autres après la vaccination. Y a-t-il vraiment un lien, sinon, quelles pourraient être les causes de ces changements?

Le nombre de traitements de fertilité avait déjà augmenté avant la pandémie, mais cette tendance s'est accélérée à mesure que les gens réfléchissaient davantage à ce qui est le plus important pour eux.

L’un des médicaments les plus consommés est l'acétaminophène. Peut-il engendrer des effets à long terme sur les individus exposés in utero? Après dix ans de recherches, des scientifiques ont publié un manifeste appelant à la prudence pendant la grossesse.

Selon une analyse de l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), il est impossible de conclure à un lien de cause à effet entre une infection à la COVID-19 et les issus défavorables de grossesses.

Dans certains cas, la concentration de ces substances dans le lait maternel peut être jusqu'à cent fois supérieure à celle qu'on retrouve dans l'eau potable. Les produits en cause sont largement utilisés dans des produits du quotidien.

Il s'agit d'une issue peu commune pour toute grossesse, mais les femmes atteintes de la COVID-19 courent un risque plus élevé. Les autorités pensent que la vaccination peut aider à prévenir ces cas.

Les statines sont de plus en plus utilisées pour prévenir ou traiter la prééclampsie. Une nouvelle étude de cohorte rétrospective a examiné les résultats périnataux chez l'enfant à naître liés à la prise de statines pendant la grossesse.

Les médecins qui font le dépistage d'infections transmissibles sexuellement et par le sang en ne se fiant qu'à des prélèvements urinaires chez les hommes gais et bisexuels asymptomatiques ont plus de risque de ne pas les détecter.