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Cependant, les personnes présentant des types de tumeurs spécifiques, certaines comorbidités et un âge plus avancé s'en sortent moins bien avec la COVID-19, révèle une étude publiée dans le «JAMA Open Network».

Les personnes qui mangent peu ou pas de viande présentent des taux plus faibles de cancers colorectal, du sein et de la prostate, ainsi qu'un risque global de cancer plus faible que les personnes qui mangent fréquemment de la viande.

Même s'il n’existe ni traitement spécifique ni suppléments ciblant la maladie, l’identification des facteurs génétiques qui contribuent aux maladies chroniques telles que la SHNA permettra de mieux comprendre, prévenir et traiter celles-ci.

Le cyclisme est associé à une réduction de 24% du risque de mortalité toutes causes confondues et MCV chez les personnes atteintes de diabète par rapport aux non-cyclistes et à ceux qui pratiquent d’autres types d’activité physique, rapporte une nouvelle étude.

Les risques associés aux traitements diffèrent selon les origines raciales, d'après les résultats d’une étude présentée au San Antonio Breast Cancer Symposium.

Le jeûne cyclique de courte durée renforcerait le système immunitaire et pourrait améliorer l'efficacité des thérapies antitumorales, selon une étude italienne.

Un essai clinique randomisé a examiné les effets aigus du café sur les arythmies cardiaques et d’autres facteurs physiologiques.

Une nouvelle étude publiée dans «Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention» démontre que les femmes noires seraient plus à risque de développer un cancer colorectal en raison d’un statut bas en vitamine D.