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  • Nouvelle formation continue sur l’anticoagulothérapie en milieu ambulatoire

    «Cette nouvelle formation de l’Ordre est différente de l’activité offerte il y a quelques années. Basée sur la surveillance et la résolution de cas complexes en pharmacie, elle inclut une mise à niveau sur les anticoagulants utilisés en milieu ambulatoire.»
  • Le fédéral doit placer la crise des opioïdes au sommet des priorités

    La question de la surveillance nécessite une attention immédiate face à l’un des problèmes de santé publique les plus importants que le Canada ait connus
  • «Le pré-diabète et le diabète de type 2 chez les jeunes, un phénomène très alarmant»

    «Un phénomène alarmant». C’est en ces termes que la Dre Mélanie Henderson, endocrinologue pédiatrique à l’Hôpital Ste-Justine et épidémiologiste, décrit la montée du diabète de type 2 chez les ados et même les prépubères. Entrevue.
  • L’importance de débusquer l’hypertension artérielle masquée

    La Société québécoise d’hypertension artérielle définit l’hypertension artérielle masquée comme une pression artérielle normale au cabinet du médecin, mais élevée lorsque mesurée en ambulatoire. Plusieurs études ont démontré l’importance des risques élevés qu’elle représente pour la santé. Selon le cardiologue Paul Poirier, les médecins et les infirmières doivent rester vigilants.
  • Des PSN comme adjuvants à un traitement d’antidépresseurs?

    Les approches complémentaires ont présentement la cote et, de plus en plus, nos patients nous demandent des compléments de traitement. Toutefois, quand il est question de troubles de l’humeur, nous ne sommes pas très à l’aise de recommander des produits à combiner avec les antidépresseurs. Pouvons-nous réellement améliorer le traitement de ces patients?
  • Une gynécologue-obstétricienne du CHUL radiée quatre mois

    Le Collège des médecins du Québec a condamné la Dre Line Blackburn à quatre mois de radiation. La gynécologue-obstétricienne faisait face à six chefs d'accusation dans deux dossiers.
  • CLSC: la survie passe par les soins à domicile

    «Suivre une clientèle [lourde], surtout à domicile, ne vous fera pas gagner le concours du nombre de patients inscrits. Or, pour le ministère de la Santé et des Services sociaux et la RAMQ, seul compte le nombre d’inscriptions», déplore le Dr Wilfrid Boisvert. Pourtant, affirme le médecin, s’il y a une population à ne pas abandonner, c’est celle des gens âgés à domicile ou en soins palliatifs, des malades atteints de troubles de santé mentale, des enfants et des jeunes en difficulté.
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