Healthcare

Plusieurs rapports ont fait état de cas de thromboses chez un petit nombre de personnes dans le monde qui avaient reçu le vaccin contre la COVID-19 d’AstraZeneca. Les scientifiques ont appelé cette affection «thrombocytopénie immunitaire prothrombotique induite par le vaccin». Qu’est-ce que cela signifie réellement? de quel risque parle-t-on et quelles sont les implications pour le déploiement de ce vaccin?

Avec l'élection d'un nouveau président à la FMSQ, «on remet le compteur à zéro», analyse Jean-François Foisy, directeur général de l'IPAM. Ce qui compte pour lui, «c’est que l’on nous soumette des mesures de pertinence que nous pourrons juger et analyser. Si tout le monde voulait boycotter les mesures et que les objectifs de 1,6 milliard $ n’étaient pas atteints au 31 mars 2023, tant pis, il y aura des coupes quand même».

Des changements ou des abolitions de plusieurs codes de facturations en pédiatrie, médecine interne, psychiatrie et gastro-entérologie, entre autres, devraient permettre d’engendrer des économies d’environ 19 M$ au gouvernement.

Québec autorise désormais les travailleurs de la santé inclus dans la phase 2 du groupe 2 à se faire vacciner, en fonction de l'arrivée prochaine de nouvelles doses des vaccins d'AstraZeneca et de Moderna.

La pandémie a provoqué une forte anxiété chez 20% des médecins de la province, indique un sondage du Collège des médecins du Québec.

L’entrée en poste du Dr Vincent Oliva comme président de la FMSQ amène un changement de garde à l’Association des radiologistes du Québec, dont il assumait la présidence depuis cinq ans.

«L'émergence de variants préoccupants qui se sont répandus dans le monde entier mettent en péril les efforts actuels de contrôle de la pandémie, y compris la vaccination. En d’autres termes, la donne a changé et le déploiement mondial réussi des vaccins actuels ne garantit plus la victoire», estiment plusieurs chercheurs canadiens, australiens, américains et sud-africains.