Le contenu, en tout point fidèle à la réalité des établissements de santé et à la pratique infirmière au Québec, est présenté de façon méthodique pour que l’examen ait lieu dans des conditions optimales.
«Ces infirmières praticiennes seront mieux outillées pour offrir des soins continus et surveiller attentivement les patients sous anesthésie qui pourraient avoir besoin de soins supplémentaires.»
Le cancer imposant des défis physiques, émotifs, sociaux et spirituels, le CHUQ a voulu dépasser l’approche traditionnellement centrée sur le traitement de la tumeur pour considérer la personne dans son ensemble.
La lourde bureaucratie du réseau nuirait à la collaboration entre médecins et infirmières, déplorent les présidents de l'Ordre des infirmières, du Collège des médecins et de la Fédération des médecins spécialistes.