Plusieurs médecins de famille se montrent encore peu enclins à prescrire l’hormonothérapie à leurs patientes pour traiter leurs symptômes de ménopause. De l’avis de deux gynécologues-obstétriciens, il n’y a pourtant aucune raison d’hésiter.
Même s’ils sont bien intentionnés, les cliniciens stigmatisent parfois les patients atteints d’un trouble mental sans même s’en rendre compte. Luc Vigneault et Philippe Vincent se sont donné pour mission de casser cette dynamique.
«En 27 ans de pratique, c’est du jamais vu», confie le Dr Yves Robitaille, spécialiste en médecine interne au Centre de médecine métabolique de Lanaudière.
Entre études, rotations à l’hôpital et implications diverses, les médecins en devenir doivent composer avec un horaire qui craque de partout. Pas de solution miracle, mais plusieurs conseils pour reprendre le contrôle sur sa vie.