Les patients qui participent pour tester l'efficacité de nouvelles thérapies n'en retireront que des bienfaits personnels très modestes, voire inexistants, leur participation servant surtout à faire progresser la science, indique un bioéthicien de l'UMcGill.
Deux médecins sur trois déclarent n'avoir reçu aucune formation officielle concernant l'annonce de mauvaises nouvelles aux patients, souligne une nouvelle étude.
«Je pense être le seul médecin dans l'histoire de la médecine à aimer les ordinateurs et la paperasse. J’aime ça car je considère que c'est un rendez-vous avec moi-même, tous les jours de la semaine de 8h à 9h», admet le Dr Crosby.
«Ces six dernières semaines m'ont sans doute rappelé le pouvoir du changement, depuis que ma place dans le monde de la pharmacie a été bouleversée. Après 25 ans de carrière, une restructuration m'a soudainement mis à l'écart.»
L’OPQ vient de dévoiler son projet de règlement sur l’inspection professionnelle. Il vise à fluidifier les procédures pour assurer une meilleure protection du public, mais aussi générer moins d’appréhension chez les pharmaciens.
Les nouvelles lignes directrices du CANMAT insistent sur l'évaluation du patient, la sélection des traitements fondés sur des données probantes, la prévention de la récurrence et les stratégies de prise en charge advenant une réponse inadéquate.
Le Bloc estime que les ministres fédéraux de la Santé et de la Justice «manquent de courage politique» en ce qui a trait à l'AMM. Le Bloc compte déposer un projet de loi qui vise à permettre les demandes anticipées pour les personnes atteintes d'un trouble neurodégénératif cognitif.
Au sommaire: Jusqu’où peut aller le marketing pharmaceutique? | Syndrome de l’imposteur | Rôle des professionnels de la physiothérapie | Implants cérébraux | Traitement de la dépression médico-réfractaire