Les pharmaciens ont tout donné pour aider à combattre cette pandémie. Mais qui veille à leur sécurité lorsqu'ils se sentent à risque dans leur environnement de travail?
Trente pharmaciens ont été reconnus coupables d’avoir laissé une compagnie pharmaceutique consulter les informations confidentielles de leurs patients afin d’engranger de plus importantes allocations professionnelles.
Si on lui avait demandé à la fin de ses études en 2011 où elle exercerait dans 10 ans, la pharmacienne Marie-Line Renaud n’aurait jamais pensé à un groupe de médecine de famille (GMF).
L’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (APES) dénonce «le manque de sérieux du gouvernement» et en appelle à Christian Dubé pour sortir de l’impasse.