L’Association des cliniques médicales du Québec estime que plusieurs aspects du projet de loi 20 sont réalisables, mais ajoute que la chose ne pourra se faire sans une révision du financement des cabinets et de l'organisation des soins.
Les incitatifs financiers mis en place pour la prise en charge des patients vulnérables et non vulnérables n’ont pas donné les résultats escomptés. Une étude a mis en évidence le fait qu’ils n’étaient pas adaptés au contexte de pratique des médecins.