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Patient Compliance

  • Québec Pharmacie, avril – mai 2017

    Au sommaire de ce numéro : Interaction entre l’amiodarone et la warfarine | Quels sont les risques associés à l’abus ou au mésusage de la prégabaline? | Mise à jour sur l’hypersensibilité aux β-lactamines (partie 1) |Colite lymphocytaire au dexlansoprazole
  • Revue de presse spéciale diabète

    Voici quelques nouvelles marquantes dans le domaine du diabète, publiées ces dernières semaines.
  • L’incidence du diabète serait plus élevée dans les régions rurales

    Les pharmaciens peuvent aider les patients à améliorer leur état de santé, notamment par la gestion de la douleur.
  • L’intégration des pharmaciens aux équipes de médecine générale améliore la prise en charge du diabète de type 2

    Plus de patients subissent les importants tests de contrôle et le nombre de patients dont le diabète n’est pas bien pris en charge diminue.
  • Les pharmaciens, une solution aux problèmes d'accès?

    Élargir le rôle du pharmacien est l’une des pistes de solution envisagées par les Québécois afin d’améliorer l’accès aux soins de santé. C’est ce qu’indique la plus récente enquête du Pôle santé HEC Montréal. Les médecins, en revanche, se montrent plus frileux à cette idée.
  • Les Québécois rejettent le statu quo en santé

    Les Québécois aiment leur système de santé et reconnaissent la qualité des services qui leur sont offerts. Toutefois, moins du quart d’entre eux ont l’impression d’en avoir pour leur argent, indique une étude du Pôle santé du HEC Montréal. Pour remédier à la situation, la majorité de la population québécoise serait prête à ouvrir davantage la porte au privé.
  • Une urgentologue radiée quatre mois pour négligence

    Une urgentologue du CHUM écope d'une radiation de quatre mois pour avoir été négligente dans le suivi d’un patient qui s'est révélé souffrir d'un cancer du poumon et dont il est décédé.
  • L'oncologie a besoin d'IPO plus que d'IPS

    «Les IPS sont des infirmières qui ont une pratique autonome et qui ont le pouvoir de faire des prescriptions. Mais ce qu’il faut dans notre milieu, ce sont des IPO, pas des IPS. Les IPO travaillent au sein d’équipes d’hémato-oncologie et assument le suivi des patients en les accompagnant dans leur trajectoire de soins. C’est là que les besoins sont les plus urgents», a réagi le président de l’Association des médecins hématologues et oncologues du Québec à l'annonce du ministre de la Santé de former des IPS en oncologie.
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