Chlamydiose, gonorrhée, syphilis, VIH, hépatite C, herpès génital, VPH, les récentes statistiques dévoilées par le MSSS sont d'une ampleur proprement inquiétante.
Les données du suivi de 81 mois de 20 000 participantes à l’étude ont montré que le raloxifène à long terme améliorait son efficacité contre le cancer du sein non invasif, s’approchant du tamoxifène avec le temps pour l’aspect prévention et avec beaucoup moins de toxicité.