« Il faut penser aux gens qui sont décédés, à nos patients. Nous, c’est du matériel », estime Marie-Hélène Miousse, copropriétaire de la pharmacie également ravagée par l'incendie.
Voilà la question d'un patient qui avoue avoir perdu confiance en son médecin quand ce dernier s’est mis à vérifier des informations sur son téléphone intelligent avant de remplir une ordonnance.