La propagation de la COVID-19 au Québec a forcé les parlementaires à accélérer le processus d'adoption de deux projets de loi accordant plus de pouvoirs aux super-infirmières et aux pharmaciens.
L’Ordre des pharmaciens du Québec réclame au gouvernement du Canada une exemption afin que ses membres puissent notamment prolonger une ordonnance de stupéfiants, de drogues contrôlées et d'autres substances ciblées.
Dorénavant, les pharmaciens pourront prolonger des ordonnances pour des périodes allant au-delà des durées maximales prévues par la loi et prescrire un médicament pour toutes les conditions mineures en respectant un intervalle de quatre ans entre le diagnostic initial par le médecin et la prescription par le pharmacien.
L’ordre des pharmaciens du Québec appelle les pharmacies à livrer des médicaments aux patients en isolement pour éviter que ceux-ci ne se déplacent à l’urgence pour les obtenir.
Un gynécologue-obstétricien a été radié quatre mois par le conseil de discipline du Collège des médecins du Québec pour avoir assuré le suivi d'une proche et de son conjoint et pour avoir manqué à la tenue de leurs dossiers respectifs.
Le Dr Horacio Arruda a confirmé dimanche qu’il est présentement préférable pour les patients d’éviter d’utiliser des anti-inflammatoires non stéroïdiens s’ils présentent des symptômes s’apparentant à ceux de la COVID-19.