Les pharmaciens doivent aviser leur ordre lorsqu’ils reçoivent une réclamation dans l’exercice de leur profession, notamment pour une erreur qu’ils auraient commise dans la préparation des médicaments d’un patient.
«Pas du tout. N’ayons pas de préjugés face aux fonctionnaires. Ces huit dernières années, j’ai été chef du département régional de médecine générale à Montréal. À mes débuts, j’avais mes propres préjugés, mais j’ai rencontré des gens dévoués et experts...»
Si l’expert médical est là pour éclairer la justice, on peut se demander pourquoi il est nécessaire d’en appeler deux à la barre pour y présenter des opinions divergentes.