Une lettre au CMQ dénonce le «harcèlement et l’intimidation systémiques des syndics»
«La médecine est un art, et il est clair que les syndics qui la surveillent actuellement sont complètement obnubilés par les pouvoirs qui leurs sont dévolus, de par la politique et la justice actuelles. Il serait plus sage que les syndics restent sur le plancher des vaches comme les médecins de première ligne afin de comprendre la réalité de la médecine d'aujourd’hui», suggère le médecin de famille Paulo Lopes dans une lettre au Collège.