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Une pharmacienne de Granby devra débourser 7 500 $ pour avoir servi de prête-nom à Jonathan-Yan Perreault, lui-même reconnu coupable d’avoir monté un vaste stratagème lui permettant de devenir propriétaire de plusieurs pharmacies sous la bannière Uniprix et radié en 2017.

"La grande question est de savoir pourquoi il semble y avoir un décalage entre le nombre croissant de médecins et le fait qu'environ la même proportion de Canadiens éprouve encore des difficultés à avoir accès à un médecin", se demande le gestionnaire de l'information sur les médecins à l'ICIS.

«J'ai vraiment du mal à dire non. Mes trois fils venaient toujours me voir quand ils étaient enfants parce que j’étais le parent facile. Je déteste la confrontation, je ne veux pas déplaire. Je suis une poule mouillée passive agressive. Mais j'ai appris à dire non et à établir des limites avec mes patients et mes collègues.»

Les programmes de bilans de santé offerts par les employeurs dérogent parfois aux règles de bonnes pratiques. Une raison pour le Collège des médecins de fournir un cadre de référence à ses membres concernés par cette pratique.

Le Conseil du trésor a approuvé la demande de la création du titre de technicien en pharmacie. Le ministère de l’Éducation a quant à lui publié des offres d’emploi afin d’entamer les travaux d’élaboration d’un programme d’études collégiales.

Alors qu’une nouvelle version du Code de déontologie des médecins sera publiée l’an prochain, le Collège des médecins du Québec invite ses membres à lui faire part de leurs suggestions.