« Au moins, que les médecins pensent à soulever l’hypothèse psychologique ! Qu’ils s’efforcent de voir la part qu’elle peut occuper dans une maladie », dit Guy Corneau.
Sur le plan médical, les symptômes du patient sont maîtrisés, les tests sont bons, tout baigne en somme. Pourtant, le patient ne va pas bien, et l’on ne trouve rien à l’investigation.
Le formulaire scénarise la séquence des gestes et des questions guidant la discussion autour du niveau de soins à instaurer en fin de vie et éclairant les décisions qui en découlent. Le document est évolutif, à l’image des intentions du patient face à ses fins dernières.