Dans ce numéro, on parle de la Loi canadienne sur la santé, des associations médicales, du repositionnement des médicaments, de la légalisation du cannabis un an après, de sécurité informatique, et plus encore.
Plusieurs professionnels de la santé craignaient que les patients consommant du cannabis à des fins thérapeutiques ne se tournent vers le récréatif pour s’approvisionner ou s’autotraiter. Aujourd'hui, plusieurs s’entendent pour dire que l’infrastructure du cannabis médical devrait être revue.
Un médecin de la région de Portneuf qui a pratiqué à ce jour l’aide médicale à mourir auprès de 84 personnes cherche à élargir la première communauté de pratique reliée à cet acte médical. Une œuvre essentielle, mais une mobilisation difficile dans un contexte hostile.
Les femmes hospitalisées pour boulimie sévère ont quatre fois plus de risque de souffrir à long terme de maladies cardiovasculaires que les autres, et près de cinq fois plus de risque de mourir dans la décennie suivant leur hospitalisation, montre une étude réalisée au Québec sur 12 ans.
C’est le temps pour les professionnels de la santé d’abandonner les cordons porte-nom, estime une étudiante en médecine britannique dans un billet publié récemment dans le British Medical Journal.