COVID-19

L’ouverture internationale permet d’améliorer la qualité des institutions et donc des mesures effectives de santé publique. La Corée du Sud illustre bien ce processus: l’espérance de vie a bondit de 55 ans en 1960, à 83 ans en 2020.

Le directeur national de santé publique par intérim a indiqué que le Québec n'est pas sorti de la pandémie, et que le port obligatoire du masque dans les lieux publics pourrait tomber le 14 mai, si la situation continue de s'améliorer.

«La bonne nouvelle, c'est qu'on a les budgets pour le faire, et lorsqu'on aura le personnel nécessaire, on va être capable peut-être même d'accélérer», a déclaré le ministre Christian Dubé.

Avec 2,7 milliards de non-vaccinés dans le monde, la COVID a amplement d'espace pour muter vers de nouveaux variants, qui continueront d'apparaître tous les 4 à 5 mois à moins que le faible taux de vaccination dans les pays défavorisés n'augmente.

«POPCORN pourra traiter du fardeau de la maladie associée aux nouveaux variants et aux impacts de la maladie pour nos enfants avec des conditions médicales les rendant vulnérables aux complications», a détaillé la Dre Quach.

Le message principal de l'étude, selon l'un des auteurs, est que le choix de se faire vacciner ne peut être considéré comme purement personnel, et donc que «la santé publique est quelque chose que l'on doit faire collectivement».

Décortiquer intelligemment les études scientifiques est une tâche très complexe, tant pour le grand public que pour les experts. Une barrière au niveau des capacités d’interprétation de la littérature scientifique fondamentale amène donc certains, dont des travailleurs de la santé, à partager de fausses nouvelles.

Dans une étude publiée dans «JAMA Pediatrics», des chercheurs ont non seulement constaté une augmentation des cas pédiatriques présentant une acidocétose diabétique, mais aussi une augmentation inhabituelle des nouveaux cas de DT1 durant la pandémie.