COVID-19

La Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) a annoncé dans son infolettre du 4 août 2020, des changements aux modalités de rémunération des omnipraticiens dans le cadre de la pandémie notamment en ce qui à trait au forfait concernant les horaires défavorables.

Sur la base de ce que l’on sait déjà, il semble probable que les vaccins les plus efficaces contre le SARS-CoV-2 nécessiteront l’usage de vaccins de rappel, et ce, peut-être régulièrement. Qu'en est-il?

Une nouvelle étude laisse croire qu'il y aura une augmentation potentiellement explosive des problèmes de santé mentale pendant des années après la fin de la pandémie de COVID-19, qui risque de toucher particulièrement les femmes.

Après analyse des dons de sang par des Québécois entre le 25 mai et le 9 juillet, l'étude permet d'extrapoler qu'environ 124 880 personnes de 18 à 69 ans auraient contracté le virus depuis le début de la pandémie.

Une simulation informatique démontre qu'un retour en classe sécuritaire est possible, si certaines mesures très strictes sont observées.

En se basant sur la documentation scientifique disponible, l’INESSS estime que l’emploi de la dexaméthasone est approprié chez certains patients COVID-19 sous oxygénothérapie, mais pas chez ceux qui requièrent une hospitalisation.

Le ministre de la Santé, Christian Dubé, lance à la population québécoise le défi collectif de réduire au minimum le nombre de cas d'infection à la COVID-19, le plus rapidement possible, avant l'arrivée d'une éventuelle deuxième vague.

Le traitement thermique humide des masques N95 éliminerait non seulement les bactéries, mais aussi le SARS-CoV-2, ce qui permettrait de les réutiliser et de possiblement éviter une pénurie, a démontré une nouvelle étude parue dans le Journal de l’Association médicale canadienne.