COVID-19

Un nombre indéterminé de médecins de famille ont entrepris leur pratique ces dernières années sans avoir demandé ou obtenu de PREM et se sont établis dans le milieu de leur choix malgré les fortes pénalités financières prévues.

L’Association canadienne de médecine d’urgence (ACMU) considère la gestion actuelle de la deuxième vague de COVID-19 comme un échec collectif des gouvernements provinciaux et demande de mettre en place une stratégie nationale pour faire face à la situation.

Bien que l'urgence soit moins grande que lors de la première vague, les enjeux sont tout aussi importants et la situation requiert un redressement marqué, écrivent des gériatres dans une lettre ouverte. Ils proposent 12 mesures, en plus de celles déjà en place, pour limiter les dégâts sur les aînés déjà fortement fragilisés.

Depuis mercredi, les patients peuvent recevoir le Tamiflu et le Relenza sans que le médecin ou le pharmacien n'ait à effectuer une demande d’autorisation de remboursement à la Régie de l’assurance maladie du Québec.

Bien qu’il soit tentant – en contexte de COVID-19 – de diagnostiquer des éruptions cutanées à distance, je tenais à voir la patiente en personne. Cette jeune fille d’origine indienne à la peau claire était préoccupée par une éruption cutanée qui était apparue sur ses pieds environ deux ou trois semaines auparavant et qui se propageait légèrement.

Dans la région de Victoria, un programme pilote permet aux patients de recevoir chez eux des traitements pour lesquels ils auraient normalement eu à se déplacer à l'hôpital. Il devrait s'étendre à toute la province en 2021.

Face à une demande qui a explosé cette année, les pharmaciens propriétaires ont réussi à sécuriser l'accès à 850 000 doses de vaccins contre la grippe en 2020, soit quatre fois plus qu’en 2019.