La FMOQ entend bien profiter des prochaines négociations pour exiger du gouvernement une diminution de l'écart de salaires entre omnipraticiens et spécialistes.
En début d’année, chacun y va de ses bonnes résolutions. Si vous avez retenu celles que nous vous proposions en janvier 2009, vous avez mis de l’ordre dans vos affaires.
Lors des négociations conclues en 2007 avec le gouvernement, la FMOQ était parvenue à négocier une réduction de l’écart de la rémunération de ses membres.
Les agences privées sont un symptôme des mauvaises conditions de travail qui prévalent dans certains établissements de santé du réseau public et non la cause de ce problème, estime la présidente de l'OIIQ, Gyslaine Desrosiers.
L’ampleur de l’écart qui sépare les médecins spécialistes et les omnipraticiens au chapitre de la rémunération est loin d’être reconnue par la Fédération des médecins spécialistes du Québec.