L’éternel novembre de la pharmacie
«Quand je regarde la pharmacie, j’ai l’impression que nous sommes en novembre depuis des mois. Sous les attaques du ministre de la Santé, de la presse, des assurances, et j’en passe. Il est vrai que les derniers temps ont été durs. Très durs. Financièrement, les pharmacies ne sont plus ce qu’elles étaient. Les mieux établies gagnent moins, les nouvelles ont peur de tout perdre. Les étudiants qui sortent de l’université voient leur avenir fondre comme neige au soleil, grand paradoxe de cet éternel novembre.»