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Médicalocratie? Sous ce titre, l’éditorialiste Antoine Robitaille mentionne les signes d’exaspération qui se font jour dans le public, selon lui, face à ce qu’il appelle le «gouvernement de médecins» ou «les quatre médecins au pouvoir» depuis le 7 avril.

Le président de l’Association québécoise des pharmaciens propriétaires s’est dit surpris de voir le Dr Marc-André Amyot, premier vice-président de la FMOQ, recommander au gouvernement de s’attaquer aux renouvellements mensuels de certains médicaments pour permettre à l'État de faire des économies.

«La question n’est pas de remettre en question l’utilité ou le mérite de la Loi 41, mais bien le paiement public ou non de cette activité-là et évidemment le coût », a déclaré Gaétan Barrette lors de l'étude des crédits budgétaires alloués à la santé.

Le président de l'AQPP s’est dit surpris de voir le Dr Marc-André Amyot, premier vice-président de la FMOQ, recommander au gouvernement de Philippe Couillard de s’attaquer aux renouvellements mensuels de certains médicaments pour permettre à l'État québécois de faire des économies.

Le ministre qualifie de «purement opportuniste» la démission en bloc de six directeurs régionaux de santé publique, à qui l'on reproche d'avoir exercé la médecine parallèlement à leurs fonctions administratives, ce que ne permet pas leur contrat.

Avant de se rendre à une réunion du conseil des ministres, M. Barrette a tiré à boulets rouges sur M. Castonguay, qui a réclamé la démission de M. Bolduc, ainsi que sur le chef de la Coalition avenir Québec (CAQ), François Legault, et un de ses députés, Éric Caire.

Le Québec pourrait entreprendre assez rapidement six réformes pour améliorer la performance de son système de santé. Yanick Labrie, économiste et analyste des politiques de santé à l’Institut économique de Montréal, les a présentées lors du récent Forum international des Amériques, à Montréal.