Skip to main content

Marc Parent

Author Profile

Marc Parent est pharmacien au Centre hospitalier universitaire de Québec. Détenteur d’un diplôme en pharmacie d’hôpital, d’une maîtrise en pharmacie et d’un certificat de spécialiste en pharmacothérapie du BPS américain, il est surtout connu pour son engagement envers la profession et le développement de la pharmacie sous tous ses aspects. Il apprécie l’enseignement et les débats d'idées qui font avancer les choses.

ARTICLES BY THIS AUTHOR

  • 30/10/2019

    Médecine ou pharmacie personnalisée?

    «Il est important que les pharmaciens demeurent au fait des avancées technologiques, même lorsqu’elles ne sont pas totalement mûres. L’augmentation de l’accessibilité des tests pharmacogénomiques créera une pression sur le système de santé et les professionnels. Nous n’avons plus le choix, il faut embarquer et effectuer l’interprétation et le counseling requis...»
  • 19/06/2019

    Après 41, 31!

    «Alors que le pharmacien est le gardien des médicaments de vente libre visés par les annexes, il ne pouvait pas les prescrire. Ce sera maintenant chose du passé!»
  • 05/06/2019

    Quoi de neuf, Docteur?

    «Cela fait huit ans que le titre de Pharm. D est octroyé au Québec, ce qui correspond beaucoup mieux à la formation académique que les étudiants reçoivent. Or, la culture en pharmacie au Québec semble avoir de la difficulté à intégrer ce nouveau titre.»
  • 17/02/2019

    Codéine en vente libre en pharmacie

    L’OPQ, les organismes des autres provinces et les organismes pharmaceutiques nationaux militent actuellement pour que le pharmacien soit reconnu comme un praticien au sens de la Loi sur les aliments et drogues, et que les privilèges du pharmacien québécois puissent s’étendre aux opiacés, stupéfiants et benzodiazépines. Militer au Québec pour le retrait de la codéine, non pas de la vente libre, mais du passage de l’annexe II vers l’annexe I, serait tout à fait contradictoire.
  • 03/09/2018

    Lettre à la prochaine ministre de la Santé

    «Les pharmaciens sont des professionnels hautement formés et accessibles au Québec. Les gouvernements précédents ont d’ailleurs élargi significativement les actes qu'ils peuvent poser. Paradoxalement, jusqu'à présent, aucun gouvernement n’a développé de vision concrète de ses attentes envers les pharmaciens pour le bénéfice de la population...»
  • 23/08/2018

    La déprescription

    «La déprescription est à la mode. Ça plaît à l’esprit de se dire que si on prend <em>trop</em> de médicaments, il faut tenter de rationaliser cette consommation et cesser certains médicaments.» Est-ce forcément la bonne chose à faire?
  • 09/07/2018

    Le fric est le nerf de la guerre

    «L'entente AQPP-MSSS semble comporter des éléments qui, sans être spectaculaires, constituent néanmoins une percée extrêmement significative non seulement pour les pharmaciens propriétaires, mais aussi pour l’ensemble de la profession et pour nos patients.»
  • 07/05/2018

    «L’étiquette» contre la dépendance

    «C’est certainement à Santé Canada que revient la palme pour sa plus récente initiative visant à prévenir l’abus d’opiacés sous ordonnance: une étiquette soulignant le risque de dépendance, de toxicomanie et de surdose! Bien sûr! Pourquoi n’y avons-nous pas pensé avant? Aux problèmes complexes, il n’y a pas de solution simple, sauf peut-être pour Santé Canada.»
  • 18/01/2018

    La profession de pharmacien menacée?

    «C’est un peu brutal comme titre pour un début d’année. Mais c’est la réflexion que m’a inspirée un article qui suggérait que l’application de commande vocale Siri pourrait remplacer le pharmacien! Comme le sort semble s’acharner sur nous, une collègue me parlait aussi d’un article récent dans lequel on listait la pharmacie en tête des professions vouées à disparaître...»
  • 14/12/2017

    Abus, abuseurs, abusés

    «On dit souvent qu’on voit la grandeur d’une société à la façon dont elle traite ses membres les plus vulnérables. Faisons-nous ce qu’il faut pour aider les gens dépendants aux substances? Comme professionnels de la santé, nous devons être sensibles à la cause, aussi difficile soit-elle, de ces personnes qui peuvent aussi être nos consœurs et confrères.»