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Roger Ladouceur

Author Profile

Médecin de famille au GMF-U Verdun et à la Coopérative-en-santé de Beauharnois.
Professeur agrégé de clinique, Département de médecine familiale, Université de Montréal.
Fellow et Médecin à vie du Collège des médecins de famille du Canada

ARTICLES BY THIS AUTHOR

  • 04/10/2011

    Peine d’amour, la suite… mais sans doute pas la fin!

    «Pourquoi quelques-uns passent-ils à l’acte et d’autres pas? Je ne le sais pas. Vous croyez peut-être que les uns ou les autres – lesquels d’ailleurs! – sont plus faibles, plus malades, moins équipés pour vivre? Peut-être bien, je n’oserais pas me prononcer sur cela. Je sais seulement que ceux qui survivent aux disparus portent en eux une souffrance profonde, une douleur épouvantable, un questionnement incessant...»
  • 13/09/2011

    Crieurs de rue et vendeurs de chars

    «Avez-vous remarqué à quel point les journalistes des médias destinés au grand public, affectés à la santé, ont une tendance au sensationnalisme? Pas une semaine ne passe sans que l’un ou l’autre ne rapporte «une percée thérapeutique», «une découverte importante» ou «un nouveau médicament miracle»...
  • 07/08/2011

    Nous prenez-vous pour des outres?

    «Coudonc! Où étais-je encore? Voilà que «la découverte du siècle», «la guérison de l’alcoolisme» – rien de moins –, était là, à ma portée depuis trois ans, avec ce bon vieux Baclofène, et je ne le savais même pas!»
  • 17/07/2011

    «Pas ce soir chéri(e), j’ai mal à la tête»

    Le nombre de nouvelles maladies qui surgissent de nos jours me stupéfie. Toutefois, ce qui me surprend encore davantage est que pour chacune d’entre elles, il semble exister un traitement pharmaceutique...
  • 10/07/2011

    Devrions-nous fermer la porte à l’industrie pharmaceutique?

    «Si on se fie à certaines études réalisées dans ce domaine, il semble que l’influence des faveurs de l’industrie pharmaceutique ne soit pas aussi anodine qu’on le croit...»
  • 24/05/2011

    Peine d’amour

    «Il était là, devant moi, livide, triste, sans voix, comme étranglé par l’émotion. Il venait de perdre sa blonde. […] Et moi, j’étais-là, devant lui, dépassé, ne sachant trop quoi dire, ni trop quoi faire, dépourvu devant tant de tristesse…»
  • 24/02/2011

    «Éteignez votre cellulaire!»

    Coudonc! Serais-je porteur d’une arme de destruction massive? Mon bidule pourrait-il bousiller le système informatique de l’hôpital, perturber les ondes électromagnétiques, dévier les champs de radiothérapie, interférer avec le système d’imagerie, voire déclencher des réactions émotives?
  • 09/02/2011

    Les émotions du médecin et leur impact sur la pratique

    Il y a de ces jours où tout semble difficile, même pour le plus dévoué des médecins.[...] Que celui qui croit que ses émotions ne viennent jamais altérer ses comportements et ses décisions professionnelles vienne nous dire comment il fait.
  • 23/01/2011

    Retour à la pratique: Back to the future

    «Vous étiez jeune et beau. Vous travailliez comme un forcené à l’urgence, sur les étages, les fins de semaines [...] Puis, vous vous êtes lassé de toutes ces gardes. Et vous avez finalement cessé la pratique. Mais aujourd'hui, vous vous dites: "Pourquoi ne pas reprendre?"»
  • 12/01/2011

    Dénoncer un collègue incompétent?

    Imaginez que l’un de vos collègues – appelons-le Mario – présente des signes de vieillissement. Sa démarche est plus lourde, ses réflexes moins vifs. On dirait qu’il a pris un coup de vieux. Soit dit en passant, Mario est un médecin émérite, un des piliers fondateurs de votre établissement, un chic type, aimé et respecté de tous, adoré de ses patients. Que feriez-vous?